Hippodrome de La Chaussée

ACTIVITES

Repas d’automne – 7 novembre 2023

 

Cette année, nous avons retrouvé le COUSCOUS et certains membres du C.A avaient revêtu une djellaba pour accueillir les adhérents du Relais de l’amitié en donnant une touche nord africaine.

 

140 convives présents : une belle participation à ce déjeuner.

Ambiance, musique, chansons et danses accompagnaient ces quelques heures de partage et d’amitié.

 

Serge nous avait préparé un couscous délicieux et nous avons aussi apprécié un excellent dessert : la verrine à la mangue.

 

Les volontaires se sont présentés en nombre pour chanter, soit en groupe, guidés par Jean-Paul, soit seuls comme Raphaêl avec «  Céline », l’une de ses chansons préférées. L’une de nos doyennes, Simone, 95 ans, n’a pas hésité à chanter également. Voix et mémoire sont toujours bien là, bravo ! Quant à Michel, il nous réjouit toujours avec ses histoires et son bégaiement à la Pierre Depp !

 

VOYAGE EN SAUMUROIS – JOUR 3

 

 

L’Abbaye de FONTEVRAUD

 

Après un bon petit déjeuner, nous rassemblons les valises. Et oui, c’est déjà le 3ème jour de notre belle balade en Val de Loire. Et nous voilà sur la route de Fontevraud.

 

En arrivant sur le site, nous découvrons une vaste cité monastique, la plus vaste d’Europe conservée en l’état nous indique le guide. Nous apprenons qu’elle fut fondée au XIIème siècle par Robert d’Arbrissel puis transformée sous l’Ancien Régime. 36 abbesses, souvent de sang royal, s’y succèdent de 1115 à 1792 à la tête d’un ordre double composé de moines et de moniales.

Puis Napoléon 1er décide de sa transformation en prison, ce qui dura jusqu’à 1963.

(Il y eut jusqu’à 2000 prisonniers)

La nef de l’Abbaye est gigantesque. Quelle longeur et quelle hauteur !

Nous découvrons les gisants polychromes des rois Plantagenêt : Henri II, Aliénor d’Aquitaine, Richard Coeur de Lion et Isabelle d’Angoulème.

Nous découvrons le cloître qui dessert tous les lieux névralgiques de la vie monastique, puis la salle du chapître avec ses magnifiques peintures dont « Le baiser de Judas », « La mise au tombeau », « L’Ascension »….

En sortant d’un des bâtiments, nous visitons la cuisine romane octogonale, impressionnante, apparemment unique en France.

Certains poussent la visite un peu plus loin vers les jardins, d’autres s’arrêtent à la boutique.

Champignonnière du Saut-aux-loups

Puis nous repartons vers les villages troglodytes et nous arrêtons pour visiter et également déjeuner à la Champignonnière du Saut aux Loups.

Dans ce dédale de galeries (anciennement extraction du tuffeau), nous suivons les différents stades de culture du champignon, de la semence de laboratoire à l’assiette, découvrant d’étonnantes sculptures « champignonesques » et certaines variétés telles que le shitaké, d’origine japonaise, en vogue dans les grands restaurants.

Nous déjeunons au cœur du troglo. La salle est sombre mais nous nous habituons à cette faible lumière et goûtons aux fameuses « galipettes » (champignons farçis).

La terrasse surplombe la Loire. Nous profitons de ce lieu pour faire un photo de groupe.

Musée des pommes tapées

 

Nous terminons notre circuit par le Musée des Pommes tapées à Turquant.

Un autre temps, une autre époque, un autre goût, c’est ce que nous découvrons à l’intérieur de cette cave du bord de Loire qui fut, au siècle dernier, un haut lieu de la production des fameuses pommes tapées. La visite retrace une tranche de vie laborieuse de nos anciens dont les instruments, la technique pour obtenir des pommes tapées que nos papilles dégusteront avant de quitter les lieux.

 

 

Dans le bus au retour, comme dans les fiches d’observation remplies par les participants, nous ressentons tout le positif de ces 3 jours. Expérience au sein de Gemouest réussie. A renouveler pour nombre de personnes.

VOYAGE EN SAUMUROIS – JOUR 2

 

 

Le Cadre Noir de SAUMUR

 

Après une bonne nuit calme au Campanile, nous attaquons dans la bonne humeur le petit déjeuner – un peu bousculés (manque de bols, une certaine désorganisation, du monde car un autre bus est présent…), ravis de nous diriger vers le Cadre Noir de SAUMUR

 

En premier lieu, nous pénétrons dans le Grand Manège pour un spectacle équestre : salle impressionnante, jeux de lumière, gradins nombreux. Beaucoup de groupes attendus. Nous sommes bien installés, face à la porte d’arrivée des cavaliers.

 

Nous avons des explications sur le travail des écuyers du Cadre Noir : le travail à l’obstacle, aux longues rênes, le travail des sauteurs et les présentations d’équitation académique.

Une heure de spectacle pour découvrir l’équitation à la française, Nous admirons les courbettes, croupades et cabrioles.

 

Nous apprenons que le Cadre noir de Saumur forme et perfectionne les cadres supérieurs de l’équitation. Véritables experts dans une ou plusieurs disciplines, les écuyers ont pour mission principale de transmettre un savoir technique et théorique dans une ou plusieurs disciplines. Ils doivent également dresser et maintenir en état performant les chevaux qu’ils présentent dans la Reprise de Manège ou dans celle des « Sauteurs », ainsi que dans les compétitions nationales et internationales où ils représentent l’école. Ils ont également pour mission de préparer les chevaux qui leur sont confiés pour la formation des élèves.

Cultivés, instruits de l’enseignement des grands maîtres de l’équitation et curieux de l’évolution des pratiques équestres, les écuyers du Cadre noir contribuent activement au maintien et au rayonnement de l’équitation française en illustrant et en transmettant ses principes, lors de présentations publiques en France et à l’étranger.

Après ce spectacle équestre, nous visitons les installations du Cadre Noir, ses écuries, sa sellerie. Les origines, l’histoire de cette école unique en France nous sont contés. Elle fut créée en 1815. L’Unesco a inscrit en 2011 l’équitation de tradition française sur la liste du patrimoine culturel immatériel de l’humanité. Cette reconnaissance honore le Cadre Noir et atteste son rôle exemplaire dans la transmission de cette discipline.

 

La VEUVE AMIOT

Après un bon déjeuner, nous nous arrêtons pour visiter la cave Veuve Amiot.

Cette cave élabore le saumur brut selon la méthode traditionnelle. Nous parcourons les galeries troglodytiques creusées dans le tuffeau, impressionnés par les millions de bouteilles entreposées puis nous prenons connaissance de la fabrication de ces vins.

Au cours de cette visite guidée, nous découvrons aussi l’histoire d’Elisa Amiot et la manière dont elle a – après la mort de son époux – pris son destin en main afin de créer sa propre maison de fines bulles.

Les conditions climatiques, les sols et l’exposition du vignoble permettent d’obtenir des vins légers et fruités avec une bulle fine et cristalline.

Ces vins sont élaborés dans la plus pure tradition, selon la Méthode Traditionnelle, l’équivalent de la Méthode Champenoise mais sont moins chers pour une qualité tout aussi exceptionnelle.

Nous sommes heureux de déguster différents vins et, nombre d’entre nous, passons commande.

LA BOULE DE FORT

2 messieurs sympathiques sont accueillent pour nous faire découvrir ce jeu tradionnel local.

A ce jour, l’origine du jeu de boule de fort reste inconnue. Son usage le plus ancien, historiquement daté, remonte à 1660 près d’Angers. Sa pratique courante semble dater de la 1ère moitié du 19ème siècle et s’étend dans la province d’Anjou.

Ce jeu a longtemps été l’apanage de groupements exclusivement masculins.

La finalité :

L’objectif est de faire rouler une boule méplace (ronde mais non sphérique) sur une piste incurvée c’est à dire aux bords relevés, et ce, au plus près d’un but appelé « maître » ou « petit » en opposant 2 équipes.

Les boules :

La boule de fort se singularise en ayant un côté plus lourd que l’autre (réglable). Cette spécificité et la forme de la piste font qu’elle ne roule pas droit mais trace des courbes plus ou moins accentuées en fonction de la volonté et de la dextérité du joueur.

Les pistes :

Longeur de 18 à 25 m pour une largeur de 6 m environ. Autrefois en terre et souvent en extérieur, elles ont aujourd’hui un revêtement synthérique sous abri chauffé.

Les joueurs :

Ce sont des rouleurs chargés de placer au plus près du maître, et des tireurs dont le rôle est de dégager la boule adverse par un lancer rapide.

Ce jeu peut être joué en individuel, en doublette/triplette ou an quadrette, alors le nombre de boules varie.

Après démonstration, nous pouvons essayer : pas simple, il faut lancer de manière douce. Trop de force fait vriller la boule ! Nous sommes amusés par le tir de certains d’entre nous : quel drôle de trajet !

Nous sommes de retour au Campanile, surpris sur notre route de retour par M. COTTIN qui nous annonce un chevreuil sur la route à quelques dizaines de mètres !

Nous tombons dans le panneau c’est le cas de le dire !

Quelle belle journée ! Et ce n’est pas fini.

Surprise, surprise. Les 2 Annick(s) remettent à chacun des participants une bouteille de Saumur Brut (Veuve Amiot, bien sûr).

Tout le monde est ravi et les remerciements fusent !

Suite jour 1 : AZAY LE RIDEAU

 

Notre programme prévoit la visite d’un château et c’est celui d’Azay le Rideau qui a été choisi.

 

Bâti sous le règne de François 1er par Gilles Berthelot, financier du roi, ce château présente une subtile alliance de traditions françoises et de décors innovants venus d’Italie.

 

Il est considéré comme l’un des fleurons de l’architecture de la Renaissance française.

 

Ses façades richement décorées se reflètent dans les 3 miroirs d’eau qui le bordent.

 

Nous cheminons, guidés, dans des pièces sublimes : mobilier précieux, tapisseries, faïences rares…

 

François 1er a pour emblème la salamandre. On la retrouve dans de nombreux décors du château, notamment sur le magnifique escalier d’honneur ouvert sur les jardins.

 

Au cours de cette visite, nous admirons la chambre renaissance, avec la richesse des étoffes de soie garnies de broderies et de passementerie à fils d’or et d’argent qui ornent le lit, pièce maîtresse du décor. Au début du XVIèe la chambre n’est pas seulement un lieu de repos mais c’est un espace de vie où l’on reçoit, mange et travaille.

Nous constatons que les murs sont habillés de jonc tressé . Aussi la guide nous précise que les murs des châteaux étaient couverts de tapisseries ou de nattes de jonc qui isolaient les pièces du froid.

 

Nous montons pour admirer la charpente du château. Des chênes de la forêt de Chinon sont abattus sur autorisation exceptionnelle du roi pour la construction de cette charpente. La découpe et l’assemblage des pièces de bois sont absolument remarquables. Quel savoir-faire exceptionnel !

 

Nous poursuivons notre visite en parcourant le parc qui offre, avec ses arbres splendides : séquoias, cèdres du Liban, ginkgo biloba, un écrain naturel au château. Ce parc est d’ailleurs classé Monument historique depuis 1914.

Les amateurs de belles photos « se régalent » en prenant le château et son reflet !

En sortant, quelques uns d’entre nous visitons aussi le Jardin des Secrets avec ses belles collections des fleurs.

 

Puis nous nous orientons vers le Campanile de SAUMUR où nous passons soirée et nuit.

 

3 jours en SAUMUROIS

Ce voyage en VAL DE LOIRE, organisé par le Relais de l’amitié dans le cadre de GEMOUEST, a eu lieu les 27/28 et 29 septembre derniers.
Un programme riche durant ces 3 journées

Après un lever très matinal, nous nous arrêtons pour un petit déjeuner bien apprécié. Puis c’est la découverte de Villandry et de ses jardins.

VILLANDRY et ses jardins

Une guide nous explique l’origine du château et des jardins.

Nous retenons que, début du XXème, Joachim CARVALLO restaure le château (origine début du XVIè) puis fait des recherches pour restituer un jardin de type Renaissance, jardin magnifique que nous admirons aujourd’hui.

Ce qui surprend en premier lieu c’est le mélange des fleurs et des légumes. Nous sommes éblouis par la grosseur des tomates et la variété des fleurs.

Nous apprenons qu’il n’y a que 4 jardiniers permanents pour un tel travail

  • 1015 tilleuls nécessitant chaqu hiver une taille de 3 mois

  • l’ensemble des buis représente une longueur de 52 km. Ils doivent être taillés tous les ans entre avril et octobre

  • 115000 plants de fleurs et légumes sont plantés chaque année dans les jardins, la moitié étant préparés dans les serres de Villandry.

Pour ce qui concerne le potager, 2 plantations sont effectuées : l’une au printemps (qui restera de mars à juin) l’autre en été (elle reste de juin à novembre).

La disposition de ces légumes est renouvelée à chaque plantation en respectant les contraintes d’harmonisation des couleurs et des formes ainsi que la rotation des cultures.

Nous montons jusqu’au belvédère pour avoir une vue d’ensemble sur le jardin d’ornement. Nous admirons les 4 jardins d’amour (tendre, passionné, volage, tragique).

Au passage, nous avons vu également le jardin d’eau, les cascades.. mais n’avons pas le temps hélas d’aller découvrir le jardin du soleil ni le jardin des simples.

Ce sera pour une visite ultérieure !

Concours de belote à L’Hermitage
 
Optimiste, l’équipe organisatrice du Relais de l’amitié avait préparé assez de tables pour accueillir 80 personnes.
 
Mais la participation fut équivalente à celle de l’an passé : 52 équipes de passionnés des communes environnantes et même plus se sont présentées. Soleil et chaleur  étant de mise, certains ont probablement préféré les activités extérieures ou le jardinage.
 
14 h, c’était parti pour un bel après-midi. 
 
Entre les différentes parties, crêpes et gâteaux faits par les adhérents ont eu du succès au bar. Merci à eux. 
 
Certaines équipes ont eu plus de jeu ou de tactique  que d’autres. 
Voici les résultats obtenus par les 3 premières :
– Equipe DANET-QUERAT, de L’HERMITAGE, 1ère, avec 5093 points
– Equipe JEHEROT-HOUANARD, de LANGAN, 2ème avec 5071 points
– Equipe QUERAT-BOISMARTEL, de LA CHAPELLE THOUARAULT, 3ème avec 5027 points.
 
Des coupes ont été remises aux 2 premières équipes.
 
Un bon moment pour tous, dans une bonne ambiance générale.

Une semaine de vacances à CERESTE au cœur du Luberon

 

C’est ce que viennent de vivre une quinzaine d’adhérents du Relais de l’amitié de L’Hermitage

 

Partis dans le cadre d’un séjour « Seniors en vacances » proposé par l’ANCV, 140

personnes des secteurs de Mordelles et de Montfort S/Meu (soit 3 cars) ont découvert cette belle région de Provence.

 

Le programme établi par CEVEO, notre centre d’hébergement, avec Robert et M. Annick BARIL, à l ‘origine du projet, était riche et varié.

 

Une super guide, Anne, compétente et pleine d’humour, nous a fait découvrir sa région d’adoption : ses villages médiévaux haut perchés (ah, les marches!!), son artisanat et ses marchés, ses senteurs, ses douceurs (fruits confits et chocolat).

 

Banon, Avignon, Fontaine de Vaucluse, Forcalquier, Lurs, Apt furent au programme ainsi que les ocres du Roussillon.

 

Une courte journée pour découvrir Marseille, son port, la belle « Notre Dame de la Garde », hélas non accessible dans sa totalité en raison de la venue du Pape et du Président, la Cathédrale, ses boutiques de savons… Merci d’avoir prévu une découverte en petit train dans lequel, à la surprise des piétons, nous avons chanté la Bretagne et aussi les Champs Elysées ! Une bonne ambiance.

 

Nous gardons en mémoire les douces senteurs de lavande, nous promettant de revenir à une saison où nous pourrons l’admirer dans les champs !

L’été à L’Hermitage

4 juillet, cela vous dit quelque chose ?

Indépendance des Etats-Unis, oui, mais encore.

Et bien, c’était le repas « galette-saucisse et crêpe » des adhérents du Relais.

Une petite centaine ont répondu « présents »à cette journée.

Jacques et Axandre se sont fait plaisir en cuisant les saucisses à l’arrière de la Salle du Vivier où nous étions tous réunis. Merci à eux et à toute l’équipe qui commande, prépare, etc…

Un déjeuner dans une bonne ambiance, suivi de différents jeux de société en après-midi.

27 juillet, et pourquoi pas un jeudi ?

Cela pourrait être long un été sans « retrouvailles » alors pourquoi pas un déjeuner dans un bel espace vert où nous pourrions marcher, jouer aux palets ou autres…

Hélas, la météo n’étant pas au rendez-vous, il nous a fallu nous rappatrier à l’abri. Vraiment dommage, nous étions 43 adhérents ce jour là aux Landes d’Apigné, ravis quand même de ce bon moment.

Pas d’interruption pour les rencontres des mardis. Moins de monde, bien entendu, Mais certains sont toujours heureux de « taper le carton » ou de « piquer le palet» !

Sortie des adhérents du Relais de l’amitié

 

Ce 1er juin, 50 personnes se rassemblent près du Laboratoire de L’Hermitage. Pourquoi ? C’est la journée de sortie des adhérents du Relais. Quelle destination ? Marie, nouvelle présidente, a concocté le programme du jour : Dinan dans un premier temps, puis La Cale de Plouer, et ensuite La Vicomté sur Rance.

 

Nous visitons librement le Château de Dinan. Beaucoup d’entre nous connaissent Dinan mais ne sont jamais rentrés au Château. Nous découvrons différentes salles – plus ou moins austères, nous arrêtons sur les explications Un intérêt particulier pour la salle des armes. Les plus courageux d’entre nous montons jusqu’à la terrasse supérieure où nous admirons une magnifique vue de Dinan, surtout par ce beau soleil qui nous accompagne au long de la journée.

 

Puis nous nous rendons vers la Cale de Plouer. Une table impressionnante nous attend. Tous sur la même tablée. Un bon déjeuner négocié par Marie (mais ce n’est pas si simple, les prix ont augmenté et il nous faut demeurer « accessibles » aux petits budgets !

 

L’après-midi est consacré à la visite du Moulin du Prat à la Vicomté sur Rance. 2 bénévoles bien sympathiques nous en expliquent le fonctionnement.

 

Pour l’ensemble des participants : une belle balade en résumé. Donc à renouveler.

 

Nous envisageons également une sortie pour les adhérents présents au mois de juillet. Ce sera le jeudi 27 juillet, probablement vers les Etangs d’Apigné.

 

A la découverte des mosaïques d’ODORICO

Mardi 16 mai, le Relais de l’amitié a proposé à ses adhérents une visite guidée pour contempler les œuvres de la famille ODORICO à travers le centre ville de RENNES.

Un guide conférencier de l’Office de Tourisme a guidé les 20 participants vers diverses fresques réalisées par ces mosaïstes venus d’Italie à la fin du XIXè siècle :

Isidore et Vincent ODORICO s’installent à Rennes en 1882. A cette époque, la mosaîque connait un véritable renouveau. Les artisans découpent à la main ces petits carrés. Ils répondent le plus souvent à des commandes de clients fortunés ou d’architectes (article OF d’aout 2017).

Leur entreprise prospère et prend ses quartiers rue Joseph Sauveur. Elle a compté jusqu’à 100 salariés. Puis Isidore fils reprend l’affaire familiale et apporte sa touche d’ancien élève des Beaux Arts de Rennes. Ils pratique un art moins conventionnel, plus coloré que celui de son père.

L’entreprise périclite après la 2ème guerre mondiale et ferme ses portes en 1978. Elle laisse derrière elle un siècle de bijoux architecturaux.

Une belle découverte que cette visite : en effet, « On marche en ville, on se balade ou on fait ses courses sans voir ces entrées de porte, ces anciens magasins aux façades colorées » dit un adhérent.

Nous avons, entre autres, pu admirer les mosaïques de la Piscine St Georges, réalisées lors de la période de l’hygiénisme. Cet ouvrage remarquable, classé en 2016 monument historique, fut voulu par le maire Jean Janvier et construit par l’archistecte Emmanuel LE RAY. C’est le chef d’oeuvre de la famille ODORICO, notamment avec les frises de mosaîques de 96 m de long aux émaux jaunes, verts et bruns ou figurent de fines vaguelettes.. « Un jeu original de formes et de couleurs, développant une esthétique marine autour du lieu ».

Nous découvrons également la maison ODORICO rue Joseph Sauveur qui est devenue un restaurant-crêperie-salon de thé. Nous avons pu nous restaurer dans ce décor historique, et admirer ainsi la fameuse salle de bain !

 

Le mercredi 3 mai dernier s’est déroulée à L’HERMITAGE une rencontre de TAROT.
 
Celle-ci a réuni une soixantaine de personnes, ce qui peut satisfaire les organisateurs du Relais de l’amitié.
 
Voici les résultats.
 
Les 5 meilleurs de l’après-midi sont les suivants :
 
1 – Gisèle LOUVEL de LE RHEU
2 – Gilbart SEIGNEUR, de L’HERMITAGE
3 – Maurice ROUAULT de St M’HERVON
4 – J. Louis BRIAND de MONTERFIL
5 – Madeleine MESSU de CINTRE.
 
Quelques photos à l’appui de cette rencontre, dont celle des vainqueurs (2ème et 3ème, la première étant déjà partie) et celle des pointeurs (Pierre, Jacques et Louis).

Conférence de Georges MITAUT – 2 mai 2023


REVIVONS NOS 70 ANS

Voici la présentation du conférencier :

« Nous avons vécu un véritable tsunami scientifique et technologique qui nous a bouleversés dans toutes les directions depuis la fin de la seconde guerre mondiale : espérance de vie, santé, confort, bien-être matériel, loisirs…

Le taux d’équipement des ménages dans les années 50 à 70 est passé de moins de 20% à plus de 70% pour l’automobile, le réfrigérateur, le lave-linge, la télévision. Et cela continue ensuite avec congélateur, lave-vaisselle, micro-onde… sans parler du numérique qui est maintenant partout (smartphone, GPS, objets connectés), et dont l’impact est majeur, à la fois personnel, professionnel et sociétal.

On parlera de ces découvertes et inventions humaines innombrables : transistor, laser, satellite artificiel, exoplanètes, séquençage du génome, OGM, progrès immense de la médecine, de la robotique, des solutions industrielles, des moyens agricoles, de la télévision… »

Une quarantaine d’adhérents du Relais de l’amitié participaient à cette rencontre. Un sujet intéressant, Des rappels « arrière », toutes les évolutions sur tous les plans qui peut poser de nombreuses questions quant à l’avenir (le nôtre, celui de la planète, etc..) et des limites du progrès.

Relais de l’amitié : repas du printemps

 

Ah, le restaurant Lucas à CARDROC, bien connu de toutes les associations de retraités pour son fameux repas « Tête de veau » et aussi pour ses diverses animations et bals.

 

Le Relais de l’amitié y était ce mardi 21 mars pour la 2ème fois. 85 adhérents avaient répondu présents et le bureau avait pris en charge les 2 cars nécessaires pour nous y rendre.

 

Une belle salle bien ensoleillée, un délicieux repas – dont le plat servi à plusieurs reprises – du personnel disponible et sympathique, tous les ingrédients étaient réunis pour que cette journée soit appréciée.

 

Le plus ? L’animation, organisée et proposée par notre ami Jean-Paul. Il avait prévu un karaoké et les adhérents y ont bien participé. D’autres ont préféré leur propre répertoire. Une équipe s’est mise à la danse. En résumé : une bonne ambiance.

 

Rendez-vous est donné maintenant à la sortie annuelle des adhérents le 1er juin prochain.


(25/03/2023)